J’avais perdue le rite des mes saisons
Ma boussole faisais défaut
Mon nord s’était embrouiller. J’ai jamais vue clair de loing
L’expression prendre du recul m’as fait regagner mon ciel ces derniers jours.
Mes processus de guérisons n’ont jamais été des couchées de soleil.
Ma solitude a fait ses lunes ;
Mais l’intensité de ma noirceur peux m’effrayer.
Je peux être insupportable à bien des égards ou a bien des regards
Mon heure du yin et du yang sonne souvent la tempête
Maintenant que mon soleil se lève à nouveau
Le noir et le blanc de chez moi se nuance
Ma mélodie recommence à fredonner dans mes oreilles fragilisées
Pour moi tout expliquer c’est trop dur
Je parle la langue de l’écriture
Non seulement il faut prendre le temps de me lire
Imaginez le temps que ca prend pour me comprendre
Jai besoin de me retrouver aux saisons afin remettre mes pendules à l’heure
On mas donner trop gros , trop vite.
Mon horloge avais une vitesse effrénée.
Ca fait qu’on pensais qu’on m’avais perdue. Caroline au pays des merveilles.
Seul le reflet de ma glace connais ce que jai lair sans rituel
imaginez ce que jai lair après 4 ans sans rendez vous
Une chance que j’avais un bon coffre à outils
Sinon on m’aurais déclarer brisée
J’ai passer du trop chaud au trop froid ; ca mas laisser des taches dans le dos
Jai traverser trop d’océans et trop de tempête , trop vite… ca mas laisser des tâches sur le cœur.
Jai souvent été victime de ma “wiseness” , de ma vitesse de croisière et de mon propre courage.
J’avais juste besoin de temps pour redécouvrir les trésors enfouis dans le fond de mes tiroirs.
Quand t’as déjà frôler les grandes barrières de la vie , l’inexpliqué de la conscience universel, et la puissance d’un corps de femme 2 fois plutôt qu’une;
l’aventure se complique.
Ca s’appelle revivre le nettoyage de sa propre expérience.
J’avais besoin de 4 jours ; le temps d’une paix, d’un thé, d’une plante et d’un vrai ami avec qui rire .
Un bon vieux chum qui as croiser ma route alors que jetais une grande adolescente, innocente, puissante, vulnérable, et sans experiences.
Tully avais oublier qui elle étais
Moi, j’avais oublier comment je fonctionnais
Mes ressentiments sont souvent incompris
Mes empreintes à moi sont peu visités . Ça me prenais des clochettes pour marcher.
Ca prend du solide pour m’enraciner , sinon le vent peux rapidement m’emporter.
Je n’ai plus besoin qu’on me tienne par la main
Jai juste de besoin qu’on marche à cote de moi ; parce que toute seul je vais vraiment vite, mais avec quelqu’un je vais encore plus loin.
On es toujours responsable de ceux qu’on apprivoise
Mon fabuleux destin n’étais justement pas celui d’Amélie Poulin
Sur la planète d’où je viens , c’était sois le silence, sois le chaos
Mais Rappelez vous que l’essentiel es invisible pour les yeux
Et qu’on ne vois bien qu’avec le cœur. Que les choses soient clair .
Ce dont je suis certaine, c’est quand un combat persiste en dedans
Aussi petit ou aussi gros sois-il
Fie toi sur le compas que tu as à l’intérieur
La vrai force c’est l’énergie alors écoute , écoute attentivement
Et quand ta petite voix te parleras , lève toi et fais ce que dois.
Une journée à la fois .
Je connais maintenant le genre de voilier que je façonnerais et
qui me mèneras au large, vers l’inexplorée, vers la douce aventure de ma vie.
Avant j’écrivais pour moi
Maintenant j’écrirais pour vous
Mon don de l’écriture es plus fort que ma voix
Et mon énergie parle plus fort que mes mots
En d’autre mot : j’essaierais de vous jouer ma sagesse.
Je repart à zero
Comme mes inspirations et mes actions mont menés jusqu’à moi
Que la providence me mène maintenant Jusqu’à vous
Aujourd’hui c’est un jour nouveau
Pis après je sais pas yen aurais combien des zéros
Vous êtes les bienvenus chez moi.
Parce que Mi casa is su casa
Caroline au 191 Baribeau xx
“ The earth has music for those who listen “
Facebook @ Yoga Caroline Lefebvre
Très bonne idée de le partager C’est tellement beau 😍 Je t’aime 😍
Envoyé de mon iPhone
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Merci maman. Il fallait me laisser le temps 🙂
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